FEADER - Partenariat européen pour l'innovation FuturForEst pour les forêts du Grand Est (2019-2023)
Cette action est co-financée par l'Union européenne dans le cadre du Fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER).
Autorité de gestion : Région Grand Est
Programme de développement rural (PDR) : Champagne - Ardennes
Mesure FEADER : 16.2 Mise en oeuvre des projets des groupes opérationnels pour le partenariat européen pour l'innovation (PEI)
Convention attributive d'aide : 13 avril 2021
N° de dossier Osiris : RCHA160220CR0210003
Période de réalisation de l'opération : 2019 - 2023
Département : Territoire de la région Grand Est
Intitulé de l'opération : FuturForEst
Description succincte :
Ce projet doit contribuer à bâtir et conforter la politique de renouvellement des forêts du Grand Est, dans un contexte de changements climatiques avéré et impactant à travers trois objectifs :
- s’appuyer sur les résultats de la recherche pour évaluer les potentialités des essences nouvelles en conditions réelles de sylviculture en région Grand Est ;
- démultiplier le réseau national d’expérimentation en installant un réseau régional à la hauteur des enjeux et couvrant l’ensemble de la variabilité des principales stations forestières de la région Grand Est, en forêt domaniale, communale et privée ;
- obtenir des données de gestion pour des essences nouvelles et proposer une méthodologie reproductible.
Montant total de l'investissement : 1 889 388.08 €
Participation FEADER : 1 360 359.40 €
Contact du maitre d’ouvrage :
ONF – Direction territoriale Grand Est
Cité administrative
14 rue du Maréchal Juin
67084 Strasbourg
Le résumé du projet en chiffres
le montant total de l'investissement
la participation du FEADER
tests en gestion installés
Ce projet partenarial associant forêt publique et privée, bien que concernant des surfaces limitées (75 îlots de 2 ha), est une réponse importante dans la stratégie d’adaptation des forêts au changement climatique, complémentaire de la migration assistée de flux de gènes et celle d’espèces autochtones. C’est aussi un défi depuis le choix des essences les plus adaptées aux conditions stationnelles, à l’approvisionnement en graines, la mise en culture jusqu’à la plantation, rendue plus aléatoire avec des étés plus secs. Comme tout dispositif expérimental forestier, les résultats vont s’étaler sur plusieurs années ; le soutien public prend ainsi tout son sens.