©Anne Recoules / ONF

Société Générale

Société Générale et l'Office national des forêts (ONF) sont partenaires dans le cadre d’un programme d'actions en faveur de la valorisation des sites naturels et de l’éducation à l’environnement.

L'entreprise

Société Générale est une banque européenne de premier plan. Elle accompagne le développement des économies depuis 160 ans en proposant à ses clients entreprises, institutionnels et particuliers un large éventail de services de conseil et de solutions financières à valeur ajoutée. Engagé depuis plus de 20 ans en faveur de la transition écologique, le Groupe a résolument placé ses ambitions ESG au cœur de sa stratégie et prend des engagements forts pour accélérer sa contribution à la transition écologique en accompagnant proactivement ses clients et en soutenant le développement de solutions et de partenariats innovants.

Le partenariat avec l'ONF

Logo de Société Générale

Dans le cadre de son offre Cartes affaires Environnement dédiée à la clientèle Entreprises, la banque de détail de Société Générale s’engage depuis 2010 à verser 5 centimes d’euros à l’ONF pour chaque paiement effectué par les clients Entreprises souscripteurs de l’offre. Les fonds ont permis de financer des projets de reboisement, d’éducation à l’environnement, de protection de la biodiversité, de mise en valeur et d'amélioration de l'accessibilité des sites naturels.

Nos actions ensemble :

2024-2025 : Reconquérir et restaurer les pelouses calcaires sur le plateau de Douaumont en Forêt d'Exception® de Verdun

Laissé en libre évolution depuis 100 ans, le plateau de Douaumont connait une progression naturelle des arbres et arbustes au détriment de l’herbe rase typique des pelouses calcaires. Les premiers à pâtir de cette dynamique sont les papillons et orchidées, dépendants des pelouses de faible hauteur.

Le projet, soutenu par Société Générale, consiste à extraire la végétation menaçant de refermer ce milieu ouvert fragile, dont des espèces exotiques envahissantes, et à restaurer des pelouses calcaires au profit de la biodiversité, en bonne intelligence avec les enjeux touristiques du site.

Le projet prévoit, en premier lieu, la reconquête et la restauration de presque 7 hectares de pelouses et la création d’environ 2,5 hectares de corridors au sein de la fruticée, afin de connecter les pelouses reconstituées entre elles et ainsi faciliter le déplacement des populations animaux et plantes de ce milieu.

2024-2025 : Rénover l'arboretum de la forêt domaniale de Dreux

L’arboretum de la forêt domaniale de Dreux est né, dans les années 2000, du projet « Un bébé, un arbre » parrainé par les Laboratoires Guigoz. Initialement destiné à la reconnaissance d’espèces végétales, cet espace, ouvert en permanence à tous, est composé en majeure partie d’essences forestières locales et regroupe plus de 60 espèces végétales.

Cependant, avec le temps, plusieurs sujets ont disparu et le mobilier a fortement vieilli. Pour des raisons de sécurité, l’arboretum a dû être fermé au public en 2020.

Le projet soutenu par Société Générale vise à introduire de nouvelles espèces forestières en lien avec le changement climatique, développer une application numérique pour découvrir les essences de l’arboretum et réaliser des travaux de rénovation des équipements incluant une mise en accessibilité pour les personnes à mobilité réduite.
 

2024-2025 : Valoriser l'histoire du reboisement du Mont Ventoux

Les pentes instables du Ventoux ont été reboisées au XIXe siècle grâce au travail colossal des populations locales et du service forestier de l’époque. Le site, appelé « Le Contrat », abritait à la fin du XIXe siècle deux bâtiments dédiés à ces travaux, dont l’un dit « La baraque » qui servait à l’organisation des chantiers entre les ouvriers et les préposés des Eaux et Forêts, à stocker et réparer les outils et surtout à abriter les ouvriers la nuit. Aujourd’hui le seul témoin de cette époque reste la plateforme qui supportait le bâtiment principal de l’époque.

Le projet consiste à redonner vie à la « baraque » et à offrir une vue en balcon sur le versant nord du Ventoux aujourd’hui reboisé. Grâce au soutien de Société Générale, la création de deux sites d’interprétation valorisant le fond des photographies historiques des « Eaux et Forêts » prises pendant la période de reboisement est envisagée. Le projet permettra de rendre hommage aux populations qui ont participé au reboisement par l’affichage des 1 000 noms de la restauration de ces terrains de montagne, sur l’un des sites naturels les plus remarquables et les plus fréquentés du Vaucluse avec 700 000 visiteurs chaque année.
 

2024 : Soutenir l'accueil des jeunes dans les centres d'éducation à l'environnement en Île-de-France

Sensibiliser les jeunes générations à la fragilité de nos forêts est un enjeu majeur pour assurer leur préservation. En Île-de-France, quatre lieux y sont consacrés et accueillent des classes pour des animations pédagogiques sur la forêt : le Centre pédagogique forestier de Fontainebleau, l’École de la campagne et de la forêt de Marly-le-Roi, l’Hamadryade en forêt de Port-Royal et la Faisanderie de Sénart. Au programme : découverte de la faune et de la flore forestières, présentation des métiers de la forêt, initiation au fonctionnement des cycles de l’eau et bien d’autres ateliers ont été imaginés pour contribuer à alimenter les connaissances sur l’environnement des citoyennes et citoyens de demain.

2023 : Réhabilitation de l'Arboretum du Rouvergue

Près d’Alès, dans le Gard, la forêt domaniale du Rouvergue abrite un site méconnu mais d’un rare intérêt pour le patrimoine historique et botanique régional : le château de Sauvages. Ce bâtiment du XVIIIe siècle fut habité quelques années par le lexicographe et naturaliste français Pierre-Augustin Boissier de Sauvages qui y créa un arboretum pour ses études scientifiques.

En 1912, le site fut cédé à une société de mines environnantes qui dynamita le château en 1962, ne laissant visible aujourd’hui plus que les dépendances et le corps de ferme. Depuis, le site laissé à l’abandon est difficilement accessible et potentiellement dangereux.

Grâce au soutien de Société Générale, des travaux de sécurisation des ruines du château, des travaux de réhabilitation de l'arboretum et de création d'un parcours de découverte accessible aux personnes à mobilité réduite ont pu être entrepris et ainsi valoriser ce patrimoine d'exception de la région alésienne.
 

2021-2023 : Cœur de Coubre, une forêt dunaire pour tous

Interface entre l’océan Atlantique et le continent, la forêt Cœur de Coubre en Charentes est une forêt dunaire qui a été façonnée par l’Homme au cours des siècles et qui abrite un patrimoine historique important. Avec le soutien notamment de Société Générale, des travaux de rénovation de "l’École du Pavillon", créée par les forestiers il y a plus de 150 ans pour accueillir les enfants des personnels forestiers et la réhabilitation du "Jardin d’Essai", créé en 1866, ont été entrepris.

Dans le Jardin d'essai, les sentiers ont été nettoyés puis redessinés et adaptés pour les personnes à mobilité réduite. De nouveaux îlots d'essences diverses (sapin de Bornmüller, chêne pubescent, micocoulier...) ont été plantés. Au total, 768 plants ont été mis en terre et protégés contre le gibier. Plusieurs panneaux de sensibilisation sur la biodiversité ont également été réalisés.

L'École quant à elle est en voie d'être transformée en lieu d'exposition/musée et espace d’accueil pour les scolaires lors des sorties de sensibilisation à l’environnement. En octobre 2023, les équipes de la Société Générale, partenaire du projet, ont pu découvrir les lieux lors d’une journée d’inauguration.

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