Tronçais, une forêt à vivre et à rêver
« Je cherche dans mon travail à afficher le maximum de détails possibles dans une image, qu’elle me révèle ce qu’elle a au plus profond d’elle. Ici le sable, l’eau, la forêt… »
©Benoît Lacombat / ONF« Qu’importe la taille, du brin d’herbe à l’arbre, il n’y a pas de dominant, tout est une question de point de vue. »
©Benoît Lacombat / ONF« Du haut de ses 28 mètres, 4 siècles d’histoire nous contemplent… Elle en a des choses à raconter cette sentinelle au crépuscule de sa vie... »
©Benoît Lacombat / ONF« La forêt sait très bien jouer avec la lumière, pour mieux souligner l’essentiel : sans le soleil, point de vie… »
©Benoît Lacombat / ONF« Tronçais ne serait pas Tronçais sans ses étangs. Ici un endroit qui invite à la rêverie. »
©Benoît Lacombat / ONF« Ici la forêt s’impose dans le paysage : on entre ou pas ? Quoi qu’il arrive on sait que l’on va vivre une sacrée expérience… »
©Benoît Lacombat / ONF« Où est le haut ? Où est le bas ? L’eau joue avec nous les "Narcisse"… attention à ne pas tomber… »
©Benoît Lacombat / ONF« Une voie directe pour les cieux… Saint-Louis se meure. Le temps n’épargne personne même ceux que l’on croit éternels. »
©Benoît Lacombat / ONF« 41 mètres de haut ! ça en impose, son histoire mouvementée aussi. Mais il n’est pas seul, le gaillard… ni sur cette parcelle, ni dans la forêt… à vous de les trouver ! »
©Benoît Lacombat / ONF« Une envie de se perdre, de ne pas retrouver son équilibre après avoir découvert des arbres si hauts… »
©Benoît Lacombat / ONF« Etre un arbre, c’est savoir s’élancer vers la lumière… »
©Benoît Lacombat / ONF« Une invitation à sortir des sentiers battus et plonger dans ce labyrinthe… »
©Benoît Lacombat / ONF« Tronçais, ce n’est pas que les chênes… J’aime ce changement de tonalité. Ici, l’odeur rappelle les vacances au bord de la mer… mais c’est vrai, derrière votre écran, vous ne sentez rien… »
©Benoît Lacombat / ONF« Ils sont deux pourtant ils ne font qu’un… Les jumeaux s’élancent vers le ciel et jouent à celui qui ira le plus haut. »
©Benoît Lacombat / ONF« Rupture dans le paysage, une frontière végétale avant d'entrer dans la futaie cathédrale… »
©Benoît Lacombat / ONF« La sentinelle, c’est un arbre magique… même la lumière l’effleure avec respect. »
©Benoît Lacombat / ONF« Il a fière allure, ce chêne… il donne le ton aux plus jeunes autour de lui : il faudra faire au moins 37 mètres pour le dépasser. »
©Benoît Lacombat / ONF« Vous serez de grands chênes, mes fils ! »
©Benoît Lacombat / ONF« Quand la forêt joue avec notre imaginaire… on s’attend à voir surgir un troll. »
©Benoît Lacombat / ONF« Ici les petits protègent les grands en empêchant la lumière d’atteindre le tronc. Belle métaphore ! »
©Benoît Lacombat / ONF« Nous partîmes 50 000 semis à l’hectare, et près de deux siècles plus tard, nous ne sommes plus que 100. Troncs filant droit vers le ciel, nous sommes les témoins du travail des hommes qui nous ont accompagnés tout au long de notre vie. »
©Benoît Lacombat / ONF« Quand la terre va bientôt se reposer… on sent déjà les premiers frimas… »
©Benoît Lacombat / ONF« Traces de jeux : des enfants ont joué avec la nature… j’ai joué avec le cadre… l’homme et la nature se rencontrent dans un même plan. »
©Benoît Lacombat / ONF« On a envie de grimper sur son dos et de partir avec lui… il me fait penser à un diplodocus : un monstre tranquille. »
©Benoît Lacombat / ONFBenoît Lacombat se définit comme un compositeur numérique. Il est de la génération du tout image où la frontière entre réel et virtuel s'est doucement estompée grâce aux nouvelles technologies.
Pour moi, la forêt est un personnage qui s'accorde avec nos humeurs le temps de la balade. Féerique ou inquiétante, la forêt a toujours influencé notre imaginaire.